jeudi, décembre 01, 2005

je joue souvent
à si tu étais là
je tiens ton souvenir
dans la pauvreté de mes mains
un empilage de mots
que j’écoute un par un
comme la mer dans un coquillage

1 commentaire:

Anonyme a dit...

euh ... bonjour toi que je ne connais pas !
Le monde n'est pas si laid que ton avant dernier commentaire le donne à penser. La preuve : ce que tu as écrit le 1° décembre ! Et qui m'aide, moi, aujourd'hui à trouver un peu de soleil par ma fenêtre. Un grand merci à toi !