Lorsque je mets ma main sur ta gorge
Je sais que tu n’es pas malade
Je sais que c’est là que s’accumulent
tes rêves inavouables, tes désirs inassouvis
Il suffit que je te dise : « carpe diem »
pour que je les voient se diluer dans ton sang
s’emparer de ton corps
et devenir des gestes délicieux.
mardi, mai 24, 2005
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1 commentaire:
Beau poème!
Éric
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